FAQ

La sélection des espèces botaniques plantées que nous plantons fait l’objet d’une évaluation environnementale poussée. Il s'agit d'une variable fondamentale et on peut le constater : la surabondance des frênes au Québec est responsable de l’ampleur de la crise provoquée par l’agrile. 

Notre conseil d'administration s'est doté d'un comité scientifique et nous travaillons de concert avec les experts du Ministère de la faune et des forêts pour nous assurer de la pertinence et de la variété des espèces d'arbres qui sont plantés. 

Nous souhaitons saisir les opportunités et plante un certain nombre d’arbres là où des partenariats peuvent être mis en place. Cela dit, nous souhaitons garder en tête certaines notions importantes.

La première est le principe de connectivité écologique, qui force à penser les interventions de verdissement à l’échelle géographique. Partout ou l'urbanisation est importante et produit une forte pression sur les écosystèmes, on observe que la connectivité biologique entre les zones de forte biodiversité est difficile. 

Les arbres plantés doivent viser à former une trame verte, c'est-à-dire un système d’infrastructures vertes suivant une logique inspirée de la théorie des réseaux. La connectivité biologique est une dimension fondamentale pour que la trame verte puisse pleinement jouer son rôle